Le royaume des poissons

Publié le par le musicien des mots

Au sortir d'une vie léthargique des sédentaires qui vivent en dormant, je pris ma valise rouillée et emmêler dans des toiles d'araignée, et me voilà partis. Loin très loin ou ne porte mes yeux.  La mer ou les salière des dieux ont déverser toute leur contenus dans ses vagues en perpétuels mouvements, m'accueille avec cet air blesser des années de pollution. Pourtant, c'est le lieu idéal de rencontre du terrien avec l'inconsistance naturel des étendus glacial.  C'est la frontière des êtres qui se connaissent sans se côtoyer.  La mer omni-présent dans le monde et dans son histoire m'autorise à surfer sur son lit de nuages tombé du ciel afin d'aller à la rencontre de la différence.  Elle emporte ma vie dans des contrés lointaines  la sur se rafiot mal entretenu, je chevauche les vagues, petit cowboys de l'océan en quête d'un nouveau paradis.  Sur mon 3 mats qui virent à bâbord, je traverse les océans à la vitesse des dauphins. En longeant les cotes de la mediteranée, j'ai compris que la vie offre tant d'images fabuleuses qu'il suffisait d'un voyage pour voir les jardins du paradis.  L'océan est le paradis des poissons et j'en suis navré de ne pas les apercevoir sur le pont de se vaisseau. J'ai pris des photos de la surface mais la vie n'y était pas présent. En approchant mon appareille de l'eau j'ai ressenti le souffle des baleines, entendu le claquement des dents de requins affamés, j'ai vécu la détresse des poissons pris dans les filets des pêcheurs. Sur une seule photo les vagues m'ont raconté la beauté et le tumulte de ses eaux froides. Mon voyage arrivant à son terme j'ai demandé au dieu Poseidon de défendre se monde fabuleux qui m'ont permis d'aller aussi loin sans en être fatigué. Et de pardonné tous ceux qui pour vivre doit détruire se milieu si majestueux.
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